guillaume grosbardQuand Guillaume commence le violoncelle il y a presque trente ans, il ne savait pas que cet instrument allait devenir son plus fidèle compagnon de voyage. Dénommé par les compagnies aériennes “Mister Cello”, il l'accompagne aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil, en Europe et au Japon.

Après des années passées à demander à Mister Cello de bien vouloir chanter correctement, et à recevoir des conseils avisés à l’école de musique de Niort, au conservatoire de Rueil-Malmaison et celui de Rotterdam, avec des violoncellistes bienveillants comme Sylvette Gaillard, Jean-Marie Gamard ou Herre-Jan Stegenga, le temps est venu de se produire sur scène.

On peut en faire des choses avec un violoncelle, et ces deux compères ont joué dans des domaines bien différents, en compagnie de musiciens très connus, et d’autres aux biographies plus succinctes.
En tango par exemple, avec l’Orquesta Tipica Guardia Cadenera ou Gotan Project. En musique du monde avec Olivier Savariau. En grande formation avec l’orchestre de chambre des Pays-Bas, l’orchestre symphonique de Londres, et des orchestres français tels que celui du Poitou-Charentes ou l’ensemble Mensa Sonora. Et en musique de chambre, notamment avec le trio Grand Air, ou le duo avec la violoniste Tomoko Katsura, cette dernière raison ayant conduit Guillaume à poser ses valises en France, au beau milieu du Poitou-Charentes.

Son employeur principal est maintenant l’association l’Ecarquilleur d’oreilles, dont la mission est de promouvoir l’accès à la culture dans toutes les couches de la société ; dans les villages, les maisons de retraite, les hôpitaux ou encore les prisons.